Citation de DESTOUCHES extraite de l'article "nourri, ie" du dictionnaire de français Littré
Quoi ! cet esprit nourri de la sagesse antique....
(Philippe Néricault DESTOUCHES, Phil. marié, V, 1)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Jamais aucuns profits, et souvent en hiver Il me laissait aller presque aussi nu qu'un ver | Glorieux, I, 3 | nu, nue [1] |
| Mais je n'y trouve, moi, qu'une difficulté, Le mariage est nul, de toute nullité | Phil. marié, V, 7 | nullité |
| De tant d'objets divers mon âme est obsédée, Qu'à force de penser elle n'a plus d'idée | Phil. marié, IV, 1 | obséder |
| Cet homme prétend être fort profond dans les sciences occultes | le Tambour nocturne, II, 11 | occulte |
| Que Damon ne vient-il ? mais vous ferez l'oison, Sitôt qu'il paraîtra.... | Phil. marié, II, 1 | oison |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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| Qu'est devenu ce teint dont la couleur fleurie Semblait d'ortolans seuls et de bisques nourrie ? | BOILEAU | Sat. III | nourri, ie |
| Qu'il paraît bien nourri ! quel vermillon ! quel teint ! Le printemps dans sa fleur sur son visage est peint | BOILEAU | Sat. X | nourri, ie |
| Ses bras étaient nerveux et bien nourris | FÉNELON | Tél.V | nourri, ie |
| Un esprit nourri de la méditation de la loi de Dieu | MASSILLON | Carême, Tiéd. 2 | nourri, ie |
| Malherbe nourri de la lecture des excellents poëtes de l'antiquité, et prenant comme eux la nature pour modèle | D'ALEMBERT | Disc. prélim. Encycl. Oeuv. t. I, p. 256, dans POUGENS | nourri, ie |