Citation de CONDILLAC extraite de l'article "résoudre" du dictionnaire de français Littré
Si ces éléments, tant qu'on les conçoit étendus, pouvaient eux-mêmes se résoudre, ils se diviseraient jusqu'à ce qu'ils cessassent d'être étendus ; il n'y aurait donc plus de corps ; les corps tomberaient dans le néant
(Etienne Bonnot de CONDILLAC, Hist. anc. III, 25)