Citation de BUFFON extraite de l'article "flandrin, ine" du dictionnaire de français Littré
Si l'on voulait la relever [la race des moutons] pour la force et la taille, il faudrait unir le moufflon avec notre brebis flandrine et cesser de propager les races inférieures
(Georges Louis Leclerc, comte de BUFFON, Quadrup. t. VII, p. 204, dans POUGENS)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
C'est apparemment cette même race de vaches à lait qu'on a transportée et multipliée en Poitou, en Aunis et dans les marais de Charente, où on les appelle vaches flandrines |
ib. t. I, p. 222 |
flandrin, ine |
Ce qui prouve que c'est le besoin qui le rendait souple et caressant [un chien métis de loup], c'est que dans d'autres circonstances il cherchait souvent à mordre la main qui le flattait |
Quadrup. t. XII, p. 237, dans POUGENS |
flatter |
Ces fables flattent la crédulité, mais malheureusement ce ne sont que des fables |
Ois. t. XIII, p. 263, dans POUGENS |
flatter |
D'autres [oiseaux] ont des tours de gosier aussi flatteurs ; mais il n'en est pas un seul que le rossignol n'efface par la réunion complète de ces talents divers, et par la prodigieuse variété de son ramage |
Ois. t. VIII, p. 119, dans POUGENS |
flatteur, euse |
Les sauterelles sont encore une des proies favorites du martin, il en détruit beaucoup, et par là il est devenu un oiseau précieux pour les pays affligés de ce fléau |
Ois. t. VI, p. 136, dans POUGENS |
fléau |
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