Citation de DELILLE extraite de l'article "tronc" du dictionnaire de français Littré
Son corps [de Déiphobe] tout mutilé n'est plus qu'un tronc hideux
(Jacques DELILLE, Én. VI)
| Citation |
Œuvre |
Entrée |
| Du fond de nos caveaux, du haut de nos greniers La gent trotte-menu s'assemble par milliers |
Trois règnes, VIII |
trotte-menu |
| Les deux pieds suspendus sur son double étrier, Assise de côté, l'une trotte à l'anglaise ; L'autre va sautillant sur la selle française |
Trois règ. III |
trotter |
| Le chasseur prend son tube, image du tonnerre |
Hom. des ch. Var. et add. ch. 1 |
tube |
| Alors, de son destin sentant toute l'horreur, Son coeur tumultueux roule de rêve en rêve |
Imagin. IV |
tumultueux, euse |
| Vos parcs sont séparés, et vos coeurs ne sont qu'un |
Jard. I |
un, une |
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| Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
| Qui diable vous a fait aussi vous aviser, à quarante-deux ans, de vous débaptiser, Et d'un vieux tronc pourri de votre métairie [la Souche] Vous faire dans le monde un nom de seigneurie ? |
MOLIÈRE
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Éc. des f. I, 1 |
tronc |
| Moi ! je pourrais trahir le Dieu que j'aime ? J'adorerais un dieu sans force et sans vertu, Reste d'un tronc par les vents abattu ? |
RACINE
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Esth. II, 9 |
tronc |
| Près de Vitry, sur les bords de la Seine, il y a une couche épaisse de troncs d'arbres assez bien conservés |
BRONGNIART
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Traité de min. t. II, p. 33 |
tronc |
| Il y a des vices qui ne tiennent à nous que par d'autres, et qui, en ôtant le tronc, s'emportent comme des branches |
PASCAL
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Pens. VI, 11, édit. HAVET. |
tronc |
| On donne à ce héros [Pompée] la mer pour sépulture ; Et le tronc sur les flots roule dorénavant Au gré de la fortune, et de l'onde, et du vent |
CORNEILLE
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Pomp. II, 2 |
tronc |
