Citation de CHÉNIER extraite de l'article "lie [1]" du dictionnaire de français Littré
Souvent las d'être esclave et de boire la lie De ce calice amer que l'on nomme la vie
(André CHÉNIER, Élégie XXXVI)
| Citation |
Œuvre |
Entrée |
| Ô lignes que sa main, que son coeur a tracées ! ô nom baisé cent fois ! craintes bientôt chassées ! |
Élég. III |
ligne |
| Je ne veux point, couvert d'un funèbre linceul Que des pontifes saints autour de mon cercueil... |
Élégies, IX |
linceul |
| Lit, siéges, table y sont [dans un réduit] portant de toutes parts Livres, dessins, crayons, confusément épars |
Élég. XXIV |
lit |
| Quand, sorti vers le soir des grottes reculées, Il s'égare à pas lents au penchant des vallées, Et voit des derniers feux le ciel se colorer, Et sur les monts lointains un beau jour expirer |
Élég. XI |
lointain, aine |
| Ainsi l'on dort tranquille ; et, dans son saint loisir, Devant son propre coeur on n'a point à rougir |
Élég. XVI |
loisir |
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