Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "coffré, ée" du dictionnaire de français Littré
Ton affaire allait bien, le drôle était coffré
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, l'Étour. V, 1)
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| Et votre complaisance un peu moins étendue De tant de soupirants chasserait la cohue | Mis. II, 1 | cohue |
| Vos coiffes sont faites | Éc. des f. I, 4 | coiffe |
| Que de son Tartuffe elle paraît coiffée ! | Tart. I, 2 | coiffé, ée |
| Quel est le cabaret honnête Où tu t'es coiffé le cerveau ? | Amph. III, 2 | coiffer |
| Faut-il de ses appas m'être si fort coiffé ? | École des f. III, 5 | coiffer |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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| Un mot du maire du lieu et me voilà coffré | COURIER | II, 300 | coffré, ée |