Citation de BOSSUET extraite de l'article "siége" du dictionnaire de français Littré
	
		
Trois nonces apostoliques qui leur apportaient [aux catholiques anglais] les consolations que reçoivent les enfants de Dieu de la communication avec le saint-siége
	
	
		(Jacques-Bénigne BOSSUET, Reine d'Anglet.)
	
 
	
		
			
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				| Qu'est-ce que l'épiscopat, quand il se sépare de l'Église, qui est son tout, aussi bien que du saint-siége qui est son centre | ib. | siége | 
						
				| Qu'on ne s'y trompe pas : le saint siége ne peut jamais oublier la France, ni la France manquer au saint siége | Mar.-Thér. | siége | 
						
				| Le siége en [de l'empire assyrien] fut établi à Ninive, ville ancienne et déjà célèbre, mais ornée et illustrée par Ninus | Hist. I, 4 | siége | 
						
				| Quatre ans après, l'empereur rebâtit Byzance, qu'il appela Constantinople, et en fit le second siége de l'empire | ib. I, 11 | siége | 
						
				| Il lui promit une terre (ce fut celle de Chanaan), pour servir de demeure fixe à sa postérité, et de siége à la religion | Hist. II, 2 | siége | 
						
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Citations d'autres auteurs extraites de l'article "siége" du dictionnaire de français Littré
	
		
			
				| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée | 
		
		
						
				| Prends un siége, Cinna, prends, et sur toute chose Observe exactement la loi que je t'impose | CORNEILLE | Cinna, V, 1 | siége | 
						
				| Ma chère, il faudrait faire donner des siéges | MOLIÈRE | Préc. 10 | siége | 
						
				| J'avais un siége sous le pied ; car, sans cette attention, je craindrais de ne plus reconnaître la jambe malade, et de m'y tromper comme Arlequin | SÉVIGNÉ | 29 avril 1685 | siége | 
						
				| Nos siéges étaient les gazons | FÉNELON | Tél. II | siége | 
						
				| Si on le prie de s'asseoir, il se met à peine sur le bord d'un siége | LA BRUYÈRE | VI | siége |