Citation de COURIER extraite de l'article "noyé, ée" du dictionnaire de français Littré
Voilà le début d'Hécatée dans son histoire : .... ce n'étaient guère que des légendes fabuleuses.... peu de faits noyés dans des contes à dormir debout
(Paul Louis COURIER, Trad. d'Hérod. Préface du trad.)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
J'ai la nue propriété d'un des plus jolis objets qui soient sortis des mains de la nature |
Lett. I, 135 |
nu, nue [1] |
Nous venons de faire un empereur, et pour ma part je n'y ai pas nui |
Correspond. mai 1804 |
nuire |
À la vérité, on le chicane [le ministre] sur l'emploi de ces neuf cents millions [du budget] ; le meilleur usage qu'il en pût faire, ce serait, selon moi, de les jouer au biribi ou d'en entretenir des nymphes d'opéra |
Lett. VI |
nymphe |
Périclès avait la tête singulièrement oblongue |
Lett. II, 324 |
oblong, ongue |
Périclès se réservait, comme la galère sacrée, pour les grandes occasions |
Lett. II, 329 |
occasion |
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Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
Comme on voit un homme à demi noyé qui se prend de toute sa force à une branche qu'on lui tend dessus le rivage |
BOSSUET
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Réfut. cat. Ferry, I, I, 6 |
noyé, ée |
Cette mort, le laissant noyé de dettes, sans ressources et sans espérance, il prit, je crois, la résolution de se délivrer de la vie |
MARMONTEL
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Mém. IX |
noyé, ée |
Et le monde effrayé Vous regarde déjà comme un homme noyé |
BOILEAU
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Sat. IX |
noyé, ée |
Chamilly, illustré par bien des siéges, mais noyé par Louvois et par Barbézieux |
SAINT-SIMON
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95, 4 |
noyé, ée |
Toutes les rivières sont débordées ; tous les grands chemins sont noyés ; toutes les ornières cachées ; on peut fort bien verser dans tous les gués |
SÉVIGNÉ
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13 |
noyé, ée |