Citation de MAINTENON extraite de l'article "parloir" du dictionnaire de français Littré
Vous ne pouvez trop faire travailler vos filles : il faut les occuper et les réjouir au dedans pour les éloigner des parloirs, qui font la honte et le scandale de tous les couvents
(Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, Lett. à Mme de la Viefville, 17 oct. 1705)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Toute la cour est affligée, j'en ai ma bonne part | Lett. à Mme de..., 1705, t. III, p. 163, dans POUGENS | part [2] |
Je crois qu'on est fort content de part et d'autre, et qu'on s'avoue en secret qu'on l'aurait été à moins | Lett. à Mme de St-Géran, 4 mars 1698 | part [2] |
Accoutumez-vous, monseigneur, à faire une lettre à part de ce que vous voulez que je montre au roi | Lett. au card. de Noailles, 8 nov. 1695 | part [2] |
Nous sommes occupés, et trop publiquement, d'un parti de cinquante hommes qui a passé quelques rivières, et qui a dessein d'enlever quelque personne considérable | Lett. au duc de Noailles, 9 nov. 1710 | parti [3] |
J'ai vu plus d'une fois dans vos lettres, en parlant de vos filles : elle n'est point de mon parti ; une supérieure, un parti ! | Lett. à Mme de la Viefville, 20 juin 1708 | parti [3] |
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