Vous vous moquez, me dit-il d'un air forcé, ne... : citation de MARIVAUX dans le dictionnaire de français Littré adapté du grand dictionnaire de la langue française d'Emile Littré

Citation de MARIVAUX extraite de l'article "forcé, ée" du dictionnaire de français Littré

(Pierre de MARIVAUX, Marianne, 8e part.)

Citation	Œuvre	Entrée
Il n'y a point d'accident pour ou contre que l'on n'imagine, point de chimère agréable ou fâcheuse qu'on ne se forge	Marianne, 6e part.	forger
J'étais comme enlevée ; il y avait quelque chose de trop fort pour moi dans la rapidité des événements qui me déplaçaient, qui me transportaient	Marianne, 3e part.	fort, orte
À tout cela il n'y a que le prochain de foulé ; qu'il s'accommode ; parlons de moi	Paysan parv. 3e part.	foulé, ée
Je suis souffrant, et je ne pourrais fournir la course	Legs, sc. 14	fournir
Jeannot est avec sa tante, qui doit le mener tantôt à la foire ; car il faut toujours que cet enfant soit fourré chez elle, surtout les fêtes	Marianne, 3e part.	fourré, ée [1]
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Citation	Auteur	Œuvre	Entrée
Ils [les Juifs] répandirent dans le monde que le sépulcre [de Jésus] avait été forcé ; mais le mensonge était si visible que la résurrection du Sauveur ne laissa pas de passer pour constante parmi le peuple	BOURDALOUE	Myst. Résurr. de J. C. t. I, p. 331	forcé, ée
Un ministre est excusable du mal qu'il fait lorsque le gouvernail de l'État est forcé dans sa main par les tempêtes ; mais dans le calme il est coupable de tout le bien qu'il ne fait pas ; Mazarin ne fit de bien qu'à lui et à sa famille	VOLTAIRE	Louis XIV, 6	forcé, ée
Donner les sens forcés à des passages clairs, c'est le sûr moyen de ne jamais s'entendre	VOLTAIRE	Dict. phil. Résurrection.	forcé, ée
Que de remparts détruits ! que de villes forcées !	BOILEAU	Art p. IV	forcé, ée
Le temple est-il forcé ?	RACINE	Athal. V, 1	forcé, ée