| Ma culotte s'use en deux ou trois endroits | REGNARD | le Joueur, III, 7 | user | 
				
			| De là le nom de sans-culotte adopté par les patriotes d'alors | BOURLOTON et ROBERT | la Commune, Paris, 1872, p. 169 | sans-culotte | 
				
			| Vous aviez la table, le lit, l'habit, veste et culotte, les souliers et la pistole par mois | DIDEROT | Neveu de Rameau. | table | 
				
			| Il y a habit, veste et culotte, d'un bel et bon drap bien fin, tout uni, doublé de soie rouge ; rien n'y manque | MARIVAUX | Paysan parv. 3° part. t. III, p. 129, dans POUGENS | doublé, ée | 
				
			| Je ne lui ai point fait de visite [à M. de Gérando], parce qu'il m'eût fallu pour cela une culotte et un chapeau d'une certaine façon | COURIER | Lett. II, 9 | culotte | 
				
			| J'ai à présent sous mes yeux un paysage que Vernet fit à Rome pour un habit, veste et culotte, et qui vient d'être acheté mille écus | DIDEROT | Salon de 1767, Oeuv. t. XIV, p. 7, dans POUGENS | habit | 
				
			| J'ai à présent sous mes yeux un paysage que Vernet fit à Rome pour un habit, veste et culotte, et qui vient d'être acheté mille écus | DIDEROT | Salon de 1767, au début. | paysage | 
				
			| Le tonnerre a fait des siennes, en attendant le canon : il est tombé sur le chevalier de la Luzerne, qui était à la tête de sa troupe ; il a brûlé ses habits et sa culotte, sans lui faire beaucoup de mal | VOLTAIRE | Lett. Mme de Fontaine, 28 mai 1760 | sien, sienne | 
				
			| Les balantines battaient sur les genoux des merveilleuses ; les oreilles de chien battaient sur la joue des incroyables, et sur leur culotte battaient les breloques de leurs montres | CH. BLANC | l'Art dans la parure, Journ. offic. 28 oct. 1872, p. 6711, 3e col. | balantine | 
				
			| La vieille crut qu'on pouvait sans dommages Du livre affreux détacher quelques pages ; Elle en prend quatre, et les coud proprement Pour relier un volume vivant [l'enfant de choeur dont la culotte était déchirée] | GRESSET | Lutrin viv. | coudre [2] | 
				
			| Faire le gros dos, s'est dit d'une espèce de contorsion qu'affectaient les petits-maîtres à Paris, mettant une main dans la ceinture de la culotte, et l'autre dans la veste, et par là faisant un gros dos voûté, comme un matou | LEROUX | Dict. comique. | dos |