Citations correspondant à « jupe » : 17 citations trouvées dans le Littré
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Prenez ma jupe et contrefaites-vous LA FONTAINE Coc. contrefaire
Messire Bon se couvrit d'une jupe, S'encorneta LA FONTAINE Coc. encorneter
Point de clinquant, jupe simple et modeste LA FONTAINE Orais. clinquant
Il me ferait couper ma jupe ; Ma foi, je ne suis pas si dupe SCARRON Virg. travesti, dans LEROUX, Dict. comique. couper
À juger d'une jupe ou de l'air d'un manteau Ou des beautés d'un point ou d'un brocart nouveau MOLIÈRE F. sav. III, 2 brocart
Je crois toujours que c'est qu'on voit mes pensées au travers de mon corps de jupe SÉVIGNÉ 75 corps
Des charmes apparents on est souvent la dupe, Et rien n'est si trompeur qu'animal porte-jupe REGNARD le Bal, 7 porte-jupe
Être souvent réduite à emprunter une jupe pour aller se la faire lever par un homme dégoûtant VOLTAIRE Candide, 24 lever [1]
Une cornette de vieux point de Venise, un mouchoir noir, un manteau gris effacé, une vieille jupe SÉVIGNÉ 183 point [1]
Je suis même trompé, si sous sa jupe bleue [d'un esprit] Je n'ai point vu deux fois frétiller une queue HAUTEROCHE Esprit follet, IV, 4 frétiller
Mme de Lavardin fait présent à Mme de Bury d'une robe noire, d'une jupe, d'un mouchoir de point avec les manchettes, tout cela prêt à mettre SÉVIGNÉ 17 janv. 1680 mettre
Il ferait trop du quant-à-moi ; Il me ferait couper ma jupe SCARRON Virg. IV quant [2]
Votre beau collet de quintin Et votre jupe de satin D'ASSOUCI Ovide travesti. quintin
C'est faire à notre sexe [aux femmes] une trop grande offense, De n'étendre l'effort de notre intelligence Qu'à juger d'une jupe ou de l'air d'un manteau, Ou des beautés d'un point, ou d'un brocart nouveau MOLIÈRE Fem. sav. III, 2 sexe
Venez donc, non pas habillées Comme on vous trouve quelquefois, En jupe dessous les feuillées, Dansant au silence des bois ; Venez en robes où l'on voie, Dessus les ouvrages de soie, Les rayons d'or étinceler MALHERBE III, 3 jupe
Une autre [jeune personne] aurait paru effroyable en l'état où elle était ; car elle n'avait pour habillement qu'une méchante petite jupe avec des brassières de nuit qui étaient de simple futaine MOLIÈRE Fourb. I, 2 brassières
Je fus hier dîner chez la princesse ; voici comme votre mère était habillée : une bonne robe de chambre bien chaude, que vous avez refusée, quoique fort jolie, et cette jupe violette, or et argent, que j'appelais sottement un jupon, avec une belle coiffure de toutes cornettes de chambre négligées ; j'étais en vérité fort bien SÉVIGNÉ 29 nov. 1684 jupe