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coupage

nm (kou-pa-j')
  • Action de couper, c'est-à-dire d'atténuer une liqueur forte par une moins forte. Le coupage de l'alcool par l'eau. Le coupage des vins spiritueux du midi par des vins plus légers.

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2Action de couper, de rogner les feuilles de tabac. On procède ensuite à l'écabochage ou au coupage des tabacs exotiques et des tabacs indigènes qui n'auraient pas reçu cette main-d'oeuvre au magasin. [Journal officiel]
3Nom donné, dans le département de la Mayenne, aux vesces, jarosses, maïs, etc. fauchés en vert, les Primes d'honneur, p. 228, Paris, 1874. Le meilleur moyen de les administrer [les touraillons, germes d'escourgeon malté] consiste à les mêler avec la pulpe, la drèche, le coupage, le son ou tout autre aliment analogue. [Reynal, Mém. d'agric. etc. 187071, p. 127]
4 Terme des halles. Action de diviser un chargement de marée. Considérant que cette pratique [la répartition d'un seul chargement de marée en plusieurs voitures afin de multiplier abusivement les tours de vente], connue sous le nom de coupage, s'étant généralisée, a donné naissance à des inconvénients graves... Ordonn. de police, 23 fév. 1867]
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