Oeuvres et citations de Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE

8450 citations de l'auteur Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE (Page 72 sur 212)

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Citation Œuvre Entrée
Et dans une embrassade on leur a, pour conclure, Fait vite envelopper toute la procédure Mis. IV, 1 envelopper
Je vois qu'envers mon frère on tâche à me noircir Tart. III, 7 envers [1]
Je serai défendu par elle [la cabale] envers et contre tous Fest. v, 2 envers [1]
Vous serez toujours.... Un envers du bon sens, un jugement à gauche l'Ét. II, 14 envers [2]
Et mon destin doit faire envie Amphit. I, 1 envie
Pour moi je le confesse, Moron, cette faute m'a choquée et j'ai toutes les envies du monde de l'engager pour rabattre un peu son orgueil Princ. d'Él. III, 2 envie
J'aurais toute l'envie du monde de vous croire le Fest. II, 2 envie
Il me prendrait envie en mon juste courroux De me battre moi-même, et me donner cent coups l'Ét. III, 12 envie
Laquelle maladie par laps de temps naturalisée, manifestement envieillie et ayant pris droit de bourgeoisie chez lui M. de Pourc. I, 2 envieilli, ie
Les envieux mourront, mais non jamais l'envie Tart. v, 3 envieux, euse
Pour dresser le contrat elle envoie au notaire Fem. sav. IV, 7 envoyer
Envoierez-vous encor, monsieur aux blonds cheveux, Avec des boîtes d'or des billets amoureux ? Éc. des mar. II, 9 envoyer
Que son intelligence est épaisse ! Préc. rid. 6 épais, aisse
Que partout de leur nom la gloire est épanchée F. sav. IV, 3 épanché, ée
Veux-tu de ces enjouements épanouis, de ces joies toujours ouvertes ? Bourg. gent. III, 9 épanoui, ie
Peut-on rien voir de plus cruel que cette rigoureuse épargne qu'on exerce sur nous, que cette sécheresse étrange où l'on nous fait languir ? Avare, I, 2 épargne
Elle est nourrie et élevée dans une grande épargne de bouche Avare, II, 6 épargne
Je n'ai pour vous rejoindre épargné temps ni peines l'Ét. v, 3 épargner
Je vous suis bien tenu de ce soin obligeant Qui m'épargne un grand trouble et me rend mon argent l'Ét. I, 7 épargner
Seigneur, je ne sais pas encore ce que je veux ; donnez-moi le temps d'y songer, et m'épargnez un peu la confusion où je suis Princ. d'Él. v, 2 épargner
Il ne me fallait point payer en coups de gaules, Et me faire un affront si sensible aux épaules Ét. II, 9 épaule
Vous avez un ridicule orgueil qui fait hausser les épaules Mal. imag. II, 7 épaule
C'est bien la moindre chose que nous devions faire que d'épauler de nos louanges le vengeur de nos intérêts Impromptu, 3 épauler
Si je savais qui ce peut être, je lui donnerais tout à l'heure de l'épée dans le ventre Georg. Dandin, I, 6 épée
Toujours parler d'argent ! voilà leur épée de chevet l'Avare, III, 5 épée
.... Et pourquoi, s'il vous plaît, Lui bailler un savant qui sans cesse épilogue ? F. sav. v, 3 épiloguer
N'ayez point pour ce fait l'esprit sur les épines l'Étour. I, 10 épine [1]
Courage ! s'il se peut enferrer tout de bon, Nous nous ôtons du pied une fâcheuse épine l'Étour. III, 2 épine [1]
Vous allez vous enfoncer dans d'étranges épines [en plaidant] Scapin, II, 8 épine [1]
Vous tirez sagement votre épingle du jeu le Dép. I, 4 épingle
Quoi ! monsieur, la protase, l'épitase et la péripétie.... Crit. de l'école des femmes, 7 épitase
Le mien [mon maître] me fait ici épouser ses inquiétudes Sicil. 1 épouser
Et sur les questions qu'on pourra proposer, Faire entrer chaque secte et n'en point épouser F. sav. III, 2 épouser
Un épouseur à toutes mains le Fest. I, 1 épouseur
Il en a bien abusé d'autres, c'est l'épouseur du genre humain ib. II, 7 épouseur
Oui-da, très volontiers, je l'épousterai bien l'Étour. IV, 7 épousseter
Bien plus que l'on ne croit le nom d'époux engage, Et l'amour est souvent un fruit du mariage Sganarelle, 1 époux, ouse
Cette suite continuelle de méchantes affaires qui nous réduisent à toute heure à lasser les bontés du souverain, et qui ont épuisé auprès de lui le mérite de mes services et le crédit de mes amis le Fest. IV, 6 épuiser
Crois-tu qu'il ait épuisé dans ses comédies tout le ridicule des hommes ? Impromptu, I, 3 épuiser
Il n'a laissé dans mon coeur, pour vous, qu'une flamme épurée de tout le commerce des sens Don Juan, IV, 9 épuré, ée
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