Citation de BEAUMARCHAIS extraite de l'article "sempiternel, elle" du dictionnaire de français Littré
Bartholo : Je n'aime point qu'on regarde ma femme de si près. - Le comte : Elle est votre femme ? - Bartholo : Eh quoi donc ? - Le comte : Je vous ai pris pour son bisaïeul paternel, maternel, sempiternel
(Pierre Augustin Caron de BEAUMARCHAIS, le Barbier de Séville, II, 14)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
Il y a de la naïveté [dans cette romance].... du sentiment même |
M. de Figaro, II, 4 |
sentiment |
D'honneur, il sent la fièvre d'une lieue |
Barb. de Sév. III, 11 |
sentir |
Qui est-ce qui dit mon père, à la cour ? Monsieur, appelez-moi monsieur ! vous sentez l'homme du commun ! |
Mère coupable, I, 12 |
sentir |
Je prendrais l'air un moment sous ces arbres. - C'est le serein que tu prendras |
Mar. de Fig. V, 5 |
serein [2] |
Le maraud m'embarrassait ! en disputant il prend son avantage, il vous serre, vous enveloppe |
Mar. de Figaro, III, 8 |
serrer |
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Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
Dieu bénisse les vivants, et qu'il accorde à mes anges [M. et Mme d'Argental] la vie sempiternelle le plus tard qu'il pourra |
VOLTAIRE
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Lett. d'Argental, 20 nov. 1764 |
sempiternel, elle |
Il y a trois sortes de substances, deux naturelles, dont l'une est corruptible, comme les animaux, et l'autre sempiternelle, comme le ciel ; la troisième immobile |
DIDEROT
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Opin. des anc. philos. Philos. péripatéticienne. |
sempiternel, elle |
Une nonne sempiternelle Prétend prouver à tout fidèle Que jamais Ver-vert n'exista |
GRESSET
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Ombr. |
sempiternel, elle |
Quelle est cette marquise ? - Une sempiternelle, Qui passe soixante ans, et se croit encore belle |
CORNEILLE Th.
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Baron d'Albikrac, I, 8 |
sempiternel, elle |
Je crois que, sans me flatter, je puis compter sur votre amitié, et que vous en avez autant pour moi qu'on en peut avoir pour une sempiternelle |
Me DU DEFFANT
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Lett. à H. Walpole, t. IV, p. 8, dans POUGENS |
sempiternel, elle |