Citation de LAMARTINE extraite de l'article "mode [1]" du dictionnaire de français Littré
[Byron] Ta voix, sur un mode infernal, Chante l'hymne de gloire au sombre dieu du mal
(Alphonse de LAMARTINE, Méd. I, 2)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Et sous les regards de Délie Tibulle y [à Baïa] modulait les soupirs de l'amour | Méditations. I, 21 | moduler |
Si c'est Dieu qui l'a fait [le mal], pourquoi moi qui l'expie ? | Joc. VI, 207 | moi |
De ce moi qui n'est plus d'autres moi vont renaître | Médit. II, Réflexion. | moi |
Et toi, qui mollement te livres Au doux sourire du bonheur | Médit. II, 15 | mollement |
Je ne veux pas d'un monde où tout change, où tout passe, Où, jusqu'au souvenir, tout s'use et tout s'efface | Méd. I, 18 | monde [1] |
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Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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Comment une substance quelconque périrait-elle ? tout mode se détruit, l'être reste | VOLTAIRE | Dict. phil. âme. | mode [1] |
La figure et le mouvement dépendent d'une cause qui est extérieure au corps ; ce ne sont donc pas des propriétés essentielles ; ce sont de simples modes, mais qui ont leur fondement dans les attributs essentiels de la matière : la figure dans l'étendue, le mouvement dans la solidité | BONNET | Consid. corps organ. Oeuvres, t. V, p. 158, dans POUGENS. | mode [1] |
Les modes dérivent des attributs | BONNET | Oeuv. mêlées, t. XVIII, p. 78 | mode [1] |
Le Pentateuque se chantait à Jérusalem sur un mode plein et doux | CHATEAUBRIAND | Génie, III, I, 2 | mode [1] |
Néron, maître du monde et dieu de l'harmonie, Qui sur le mode d'Ionie Chante en s'accompagnant de la lyre à dix voix | HUGO | Odes, Un chant de fête de Néron | mode [1] |