Citation de ROLLIN extraite de l'article "fardeau" du dictionnaire de français Littré
C'est une chose étonnante de voir de quels fardeaux ils [les soldats romains] étaient chargés dans une marche
(Charles ROLLIN, Traité des Ét. 3e part. ch. 1er.)
| Citation |
Œuvre |
Entrée |
| Les couleurs les plus vives pour farder des vices et des crimes [chez les dieux du paganisme], qui seraient tombés dans le décri sans la parure qu'ils [les poëtes] leur prêtaient pour en couvrir la difformité, l'absurdité et l'infamie |
Traité des Ét. II, I, 2 |
farder [1] |
| Lorsqu'il [Sennachérib] se croyait déjà maître de Jérusalem, le Seigneur d'un souffle seul dissipe toutes ses pensées fastueuses |
Hist. anc. préface. Oeuvr. t. I, p. XI |
fastueux, euse |
| Il n'est point d'artisan qui n'ait recours à cet innocent artifice [chanter], et la plus légère chanson lui fait presque oublier toutes ses fatigues |
Hist. anc. t. XI, 1re part. p. 211, dans POUGENS |
fatigue |
| Bientôt après on eut des lettres du consul, qui montrèrent la fausseté de ce bruit |
Hist. anc. Oeuvres, t. VIII, p. 417, dans POUGENS |
fausseté |
| Ces comparaisons peuvent éblouir d'abord, et elles étaient fort vantées du temps de Quintilien ; mais, quand on les examine de près, on en reconnaît le faux |
Traité des Ét. III, 3 |
faux, fausse [1] |
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