Citation de ROLLIN extraite de l'article "tourner" du dictionnaire de français Littré
Ces Numides, aussi bien que les Parthes, n'étaient jamais plus terribles que quand ils semblaient prendre la fuite par crainte et par lâcheté ; car, alors tournant tout à coup visage, ils lançaient leurs traits et leurs flèches contre l'ennemi
(Charles ROLLIN, Hist. anc. Oeuv. t. XI, 1re part. p. 391, dans POUGENS.)
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Citation | Œuvre | Entrée |
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Pline eut pour amis tout ce que son siècle a produit de grands hommes, tous ceux que leurs rares vertus distinguaient le plus | Hist. anc. liv. XXV, ch. III, II, 4 | tout, toute |
Une tradition aussi ancienne que le monde | Hist. anc. Oeuv. t. II, p. 296, dans POUGENS | tradition |
[Les pharisiens] se piquaient d'une observance exacte de la loi, et y ajoutaient un grand nombre de traditions qu'il prétendaient avoir reçues de leurs ancêtres | Hist. anc. Oeuv. t. IX, p. 393, dans POUGENS | tradition |
Le décret par lequel Jean Hyrcan, père des deux derniers rois, avait aboli toutes leurs constitutions traditionnelles [des Juifs] | Hist. anc. Oeuv. t. IX, p. 453, dans POUGENS | traditionnel, elle |
On a justement comparé le commun des traductions à un revers de tapisserie, qui tout au plus retient les linéaments grossiers des figures finies que le beau côté représente | Traité des Ét. I, 1 | traduction |
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