Citation de CORNEILLE extraite de l'article "moquer (se)" du dictionnaire de français Littré
Des mystères sacrés hautement se moquait
(Pierre CORNEILLE, Poly. III, 2)
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Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
On ne rit point du ridicule des gens qu'on ne connaît point ; voilà pourquoi M. de Mazarin disait qu'il ne se moquait jamais que de ses parents et de ses amis |
VOLTAIRE
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Lett. Mme du Deffant, 19 févr. 1766 |
moquer (se) |
Pour se moquer de leur religion [des Égyptiens], il [Cambyse] avait fait tuer le dieu Apis, c'est-à-dire le taureau sacré qu'ils adoraient sous ce nom |
ROLLIN
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Hist. anc. Oeuvr. t. V, p. 525, dans POUGENS |
moquer (se) |
On commence à respecter très peu l'aventure de Curtius, qui referma un gouffre en se précipitant au fond lui et son cheval ; on se moque des boucliers descendus du ciel |
VOLTAIRE
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Mél. hist. Fragm. s. l'hist. art. XII |
moquer (se) |
On se plaignait de l'envie en Grèce, on s'en plaignait à Rome, et je m'en moque quelquefois en France |
VOLTAIRE
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Lett. Chabanon, 4 juill. 1768 |
moquer (se) |
La malignité saisit un ridicule et s'en moque ; la sottise se moque sans aucune raison |
GENLIS
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Ad. et Théod. t. III, p. 237, dans POUGENS |
moquer (se) |