Citation de ROLLIN extraite de l'article "moquer (se)" du dictionnaire de français Littré
Pour se moquer de leur religion [des Égyptiens], il [Cambyse] avait fait tuer le dieu Apis, c'est-à-dire le taureau sacré qu'ils adoraient sous ce nom
(Charles ROLLIN, Hist. anc. Oeuvr. t. V, p. 525, dans POUGENS)
Autres citations de Charles ROLLIN
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La morale, qui se propose pour objet de régler les moeurs, est, à proprement parler, la science de l'homme | Hist. anc. Oeuvr. t. XII, p. 564, dans POUGENS | morale |
De tous ses ouvrages [de Longin], le temps ne nous a conservé que son traité du Sublime, qui est un des plus beaux morceaux qui nous restent de l'antiquité | Hist. anc. Oeuvr. t. XI, 2e part. p. 662, dans POUGENS. | morceau |
Le génie déclamateur et mordant de Juvénal | Hist. anc. liv. XXVe, ch. 1, art. 2, § 3 | mordant, ante [1] |
On remarque que l'or résiste aux impressions et aux morsures du sel et du vinaigre, qui résolvent et qui domptent toutes les autres matières | Hist. anc. Oeuv. t. X, p. 522, dans POUGENS | morsure |
Il [Démétrius] se montra à cette multitude, qui était plus morte que vive, et qui attendait dans un tremblement qui ne peut s'exprimer l'arrêt de sa condamnation | Hist. anc. Oeuv. t. VII, p. 275, dans POUGENS | mort, orte [1] |
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Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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On ne rit point du ridicule des gens qu'on ne connaît point ; voilà pourquoi M. de Mazarin disait qu'il ne se moquait jamais que de ses parents et de ses amis | VOLTAIRE | Lett. Mme du Deffant, 19 févr. 1766 | moquer (se) |
Des mystères sacrés hautement se moquait | CORNEILLE | Poly. III, 2 | moquer (se) |
On commence à respecter très peu l'aventure de Curtius, qui referma un gouffre en se précipitant au fond lui et son cheval ; on se moque des boucliers descendus du ciel | VOLTAIRE | Mél. hist. Fragm. s. l'hist. art. XII | moquer (se) |
On se plaignait de l'envie en Grèce, on s'en plaignait à Rome, et je m'en moque quelquefois en France | VOLTAIRE | Lett. Chabanon, 4 juill. 1768 | moquer (se) |
La malignité saisit un ridicule et s'en moque ; la sottise se moque sans aucune raison | GENLIS | Ad. et Théod. t. III, p. 237, dans POUGENS | moquer (se) |