Citation de BEAUMARCHAIS extraite de l'article "flambé, ée" du dictionnaire de français Littré
Et voilà ma comédie flambée, pour plaire aux princes mahométans
(Pierre Augustin Caron de BEAUMARCHAIS, Mar. de Fig. V, 3)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Ah ! noble espion, la fleur des drôles, qui faites ici le bon valet et voulez nous souffler la dot | Mère coup. II, 24 | fleur |
| La comtesse : Qui t'a donc fleurie si matin ? - Florence : Madame on ne m'a point fleurie, c'est moi qui ai fait des bouquets | Mère coup. II, 4 | fleurir |
| Il est aisé de voir que goddam est le fond de la langue | Mar. de Fig. III, 6 | fond |
| Tenez, tenez, le voilà qui court la plaine et force un lièvre qui n'en peut mais | Mar. de Figaro, II, 2 | forcer |
| Je me suis longtemps inquiété pour savoir au vrai si Jean-Jacques était devenu enthousiaste de la vertu, ou s'il n'était qu'un forfantier | Note inédite sur J. J. Rousseau, dans LOMÉNIE, Beaumarchais et son temps, t. II, p. 587 | forfantier |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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| Et comment il était flambé, Si vous n'eussiez à notre patte Soustrait sa débile omoplate | SCARRON | Virg. v. | flambé, ée |
| Je tremble que Pondichéri ne soit flambé ; il y a trois ans que je crie : Pondichéri, Pondichéri | VOLTAIRE | Lett. d'Argental, 25 juill. 1760 | flambé, ée |