Citation de BEAUMARCHAIS extraite de l'article "forcer" du dictionnaire de français Littré
Tenez, tenez, le voilà qui court la plaine et force un lièvre qui n'en peut mais
(Pierre Augustin Caron de BEAUMARCHAIS, Mar. de Figaro, II, 2)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Je me suis longtemps inquiété pour savoir au vrai si Jean-Jacques était devenu enthousiaste de la vertu, ou s'il n'était qu'un forfantier | Note inédite sur J. J. Rousseau, dans LOMÉNIE, Beaumarchais et son temps, t. II, p. 587 | forfantier |
La forme, voyez-vous, la forme ! tel rit d'un juge en habit court qui tremble au seul aspect d'un procureur en robe | Mar. de Fig. III, 14 | forme |
S'il suffit d'être homme pour nous plaire, pourquoi donc me déplaisez-vous si fort ? | Barb. de Sév. II, 4 | fort, orte |
Pour tirer parti des gens de ce caractère, il ne faut qu'un peu leur fouetter le sang ; c'est ce que les femmes entendent si bien | Mar. de Fig. II, 2 | fouetter |
Qu'on me dise qui diable lui a fourré dans la tête de ne plus vouloir prendre leçon de don Bazile ? | Barb. de Sév. III, 1 | fourrer |
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