Citation de ROUSSEAU extraite de l'article "effarouché, ée" du dictionnaire de français Littré
Il est à présumer que ce n'est qu'une queue de cette goutte effarouchée
(Jean-Jacques ROUSSEAU, Lett. à Du Peyrou, 3 mars 1768)
| Citation | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|
| Le lecteur se scandalise et s'effarouche de tout | Ém. IV | effaroucher |
| Tout ce qui effémine les hommes | Pologne, 3 | efféminer |
| C'était un grand garçon fort efflanqué, fort fluet | Conf. I | efflanqué, ée |
| La preuve, madame, que je n'ai point voulu mettre en égalité votre amie et vous, est que.... | Lett. à Mme Latour, éd. Musset-Pathay, t. XIX, p. 291 | égalité |
| Qu'on destine mon élève à l'Église | Ém. I | église |
| Plus de citations de ROUSSEAU... | ||
Citations d'autres auteurs extraites de l'article "effarouché, ée" du dictionnaire de français Littré
| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|---|
| Je vous croyais effarouchés pour plus de huit jours | DANCOURT | Moul. Jav. sc. 23 | effarouché, ée |
| Les paysans effarouchés avaient fui ; beaucoup de vivres étaient gaspillés | SÉGUR | Hist. de Nap. VIII, 8 | effarouché, ée |