Citation de MUSSET extraite de l'article "haillon" du dictionnaire de français Littré
Il secouait sous son manteau Un haillon de pourpre en lambeau, Sur sa tête un myrte stérile
(Alfred DE MUSSET, Poés. nouv. Nuit de décembre.)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| C'était, dans la nuit brune, Sur le clocher jauni, La lune, Comme un point sur un i | Ball. à la lune | i |
| Ce qu'il sait, ce qu'il voit des choses de la vie, Tout le porte, l'entraîne à son but idéal | La coupe et les lèvres, IV, 1 | idéal, ale |
| Dante, pourquoi dis-tu qu'il n'est pire misère Qu'un souvenir heureux dans les jours de douleurs ?... Est-ce bien toi, grande âme immortellement triste, Est-ce toi qui l'as dit ? | Poésies nouv. Souvenir. | immortellement |
| Lui [Byron], le grand inspiré de la mélancolie, Qui, las d'être envié, se changeait en martyr | Poésies nouv. Lett. à Lamartine. | inspiré, ée |
| Ivre de volupté, de tendresse et d'horreur | Poés. nouv. la Nuit de mai | ivre |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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| Quittez à cette heure ces vieux haillons | VAUGELAS | Q. C. IV, 1 | haillon |
| La paresse toujours endormie sera vêtue de haillons | SACY | Prov. de Salom. XXIII, 20 | haillon |
| Il [le Tasse] alla à pied, couvert de haillons, depuis Ferrare jusqu'à Sorrento, dans le royaume de Naples, trouver une soeur qu'il y avait et dont il espérait quelque secours | VOLTAIRE | Ess. poés. ép. ch. 7 | haillon |