Citation de CORNEILLE extraite de l'article "ébranlé, ée" du dictionnaire de français Littré
Il tâche à raffermir leurs âmes ébranlées
(Pierre CORNEILLE, Cinna, IV, 1)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Si près de voir sur soi tomber de tels orages, L'ébranlement sied bien aux plus fermes courages | Hor. I, 1 | ébranlement |
| Le manque d'héritiers ébranlait sa province | Oedipe, V, 4 | ébranler |
| Et ma tête abattue ébranlerait la vôtre | Sertor. IV, 3 | ébranler |
| Jaloux des bons desseins qu'il tâche d'ébranler | Polyeucte, I, 1 | ébranler |
| Et reconnaissez-vous que tout ce qu'il m'a dit, Par quelque impression ébranle mon esprit ? | Nicom. IV, 1 | ébranler |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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| Le Taygète et les autres monts furent ébranlés jusque dans leurs fondements ; plusieurs de leurs sommets, détachés de leur place, s'écroulèrent | ROLLIN | Hist. anc. Oeuvres, t. III, p. 384 | ébranlé, ée |
| Rassurez vos États par sa chute ébranlés | RACINE | Alex. IV, 2 | ébranlé, ée |
| Et des Césars un jour la puissance ébranlée | VOLTAIRE | Guèbr. I, 1 | ébranlé, ée |
| Quand on est loin, la raison n'est pas si ébranlée ; mais elle l'est étrangement en la présence de l'objet | PASCAL | Disc. sur l'amour. | ébranlé, ée |