Citation de RACINE extraite de l'article "ébranlé, ée" du dictionnaire de français Littré
Rassurez vos États par sa chute ébranlés
(Jean RACINE, Alex. IV, 2)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
Sur ses antiques fondements, Venait-il ébranler la terre ? |
Athal. I, 4 |
ébranler |
Mais, si tu les soutiens, qui peut les ébranler ? |
Ath. III, 7 |
ébranler |
Et les dons achevant d'ébranler leur devoir |
Bajaz. I, 1 |
ébranler |
Un amour qu'il peut vouloir troubler, Mais que tout son pouvoir ne pourrait ébranler |
Phèd. III, 6 |
ébranler |
Mais le dessein est pris, rien ne peut m'ébranler |
Mithrid. IV, 4 |
ébranler |
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Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
Le Taygète et les autres monts furent ébranlés jusque dans leurs fondements ; plusieurs de leurs sommets, détachés de leur place, s'écroulèrent |
ROLLIN
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Hist. anc. Oeuvres, t. III, p. 384 |
ébranlé, ée |
Et des Césars un jour la puissance ébranlée |
VOLTAIRE
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Guèbr. I, 1 |
ébranlé, ée |
Son esprit ébranlé par les objets présents |
CORNEILLE
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Hor. I, 1 |
ébranlé, ée |
Il tâche à raffermir leurs âmes ébranlées |
CORNEILLE
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Cinna, IV, 1 |
ébranlé, ée |
Quand on est loin, la raison n'est pas si ébranlée ; mais elle l'est étrangement en la présence de l'objet |
PASCAL
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Disc. sur l'amour. |
ébranlé, ée |