Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "tonne" du dictionnaire de français Littré

Jamais commerce ne fut plus avantageux aux Portugais que celui du Japon ; ils en rapportaient, à ce que disent les Hollandais, trois cents tonnes d'or chaque année, et on sait que cent mille florins sont ce que les Hollandais appellent une tonne ; c'est beaucoup exagérer

(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Moeurs, 142)