Citation de HAUTEROCHE extraite de l'article "tirer" du dictionnaire de français Littré
Je crains bien que ce ne soit ton maître. - Qu'importe ? il s'en faut tirer
(Noël LEBRETON, sieur de HAUTEROCHE, Crisp. médec. II, 7)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Sans toi j'étais tondu, je le dois avouer ; J'aurais reçu sans doute un affront effroyable | Souper mal appr. sc. 10 | tondre [1] |
| Si je résiste, il me tordra le cou | Esp. foll. v, 10 | tordre |
| Mais, pour l'amour de moi, touchez-vous dans la main | le Coch. sc. 18 | toucher [1] |
| Mais ne saurai-je point pourquoi, tout ce tracas ? Pourquoi tant de détours | Soup. mal apprêté, sc. 1 | tracas |
| Vous qui, depuis dix ans à la cour attaché, Sur les seules douceurs [aux dames] vous êtes retranché, Et qui, ne méditant que conquêtes nouvelles, Trafiquiez sans scrupule avec toutes les belles ! | Nobles de prov. I, 6 | trafiquer |
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Citations d'autres auteurs extraites de l'article "tirer" du dictionnaire de français Littré
| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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| Comme un enfant qui est tiré par les voleurs d'entre les bras de sa mère, qui ne le veut point abandonner | PASCAL | Extr. des lettres à Mlle de Roannez, 8 | tirer |
| Il [le hocco] devient familier au point de heurter à la porte avec son bec pour se faire ouvrir, de tirer les domestiques par l'habit lorsqu'ils l'oublient.... | BUFFON | Ois. t. IV, p. 139 | tirer |
| Sa soeur cadette a beau la tirer par son vêtement, elle n'entend rien | DIDEROT | Salon de 1765, Oeuv. t. XIII, p. 178, dans POUGENS | tirer |
| Est-ce lui qui naguère aux dépens de sa vie Sauva des ennemis votre empereur Décie, Qui leur tira mourant la victoire des mains, Et fit tourner le sort des Perses aux Romains ? | CORNEILLE | Poly. I, 3 | tirer |
| Sa grâce et sa vertu sont de douces amorces, Qui, pour tirer les coeurs, ont d'incroyables forces | MOLIÈRE | l'Ét. III, 2 | tirer |