Citation de RETZ extraite de l'article "tyran" du dictionnaire de français Littré

Je ne fus plus cet homme malhonnête et tyran, qui voulais sacrifier tous mes amis à mon ambition et à mon caprice ; on ne parla dans la conversation que de la tendresse qu'on avait pour moi

(Jean-François Paul de Gondi, cardinal de RETZ, Mém. t. IV, liv. v, p. 127, dans POUGENS)