Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "épouvanté, ée" du dictionnaire de français Littré
Je suis épouvanté de ce comble d'horreur
(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Zaïre, IV, 5)
| Citation | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|
| C'est par vos faibles mains Qu'il [Dieu] veut épouvanter les profanes humains | Fanat. III, 6 | épouvanter |
| Je vais t'épouvanter par ce secret affreux | M. de César, III, 2 | épouvanter |
| Penses-tu que je sois moins épouse que mère ? | Orphel. IV, 6 | époux, ouse |
| Ah ! lorsqu'elle m'a vu, si son âme surprise, D'une ombre de pitié du moins s'était éprise | Scythes, III, 1 | éprendre (s') |
| On n'essuya jamais des épreuves plus dures | Tancr. v. 3 | épreuve |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|---|
| Le flot qui l'apporta recule épouvanté | RACINE | Phèdre, v, 6 | épouvanté, ée |
| Voilà la source des reproches d'une conscience épouvantée et des murmures secrets qui déchirent mon coeur | ROUSSEAU | Hél. II, 6 | épouvanté, ée |
| Pourquoi mon coeur bat-il si vite ? Qu'ai-je donc en moi qui s'agite, Dont je me sens épouvanté ? | MUSSET | Poésies nouv. la Nuit de mai | épouvanté, ée |

