Citation de AMYOT extraite de l'article "divinateur, trice" du dictionnaire de français Littré
Jugeant que c'estoit le soleil qui imprimoit ceste temperature et ceste disposition en la terre, de laquelle sourdoit ceste exhalation divinatrice
(Jacques AMYOT, Plut. Oeuvr. mor. t. V, p. 411)
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Citation | Œuvre | Entrée |
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Telz exercites [armées] sont desormais dons reciproques que s'entredonnent et s'entreprestent noz particuliers citoyens à nos despens | Caton d'Utique, 61 | entre-prêter (s') |
Quelques-uns interpretants un peu plus gracieusement la fabulosité de ce conte... | Plut. Oeuvres mor. t. XVI, p. 151 | fabulosité |
Le demy ton es meses est incomposé | Plut. De la musique, 18 | incomposé, ée |
Ce qui est plongé et enfoncé dedans le corps s'appelle ame ; mais ce qui est entier et incorrompu, le vulgaire l'appelle l'entendement | Plut. Oeuv. mor. t. XX, p. 229 | incorrompu, ue |
Ainsi ne parla pas impertinemment ny inelegamment celui qui dit que le dormir estoit les petits mysteres, comme s'il eust voulu dire, le modele et le preambule de la mort | Plut. Oeuv. mor. t. XVI, p. 227 | inélégamment |
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