Citation de DIDEROT extraite de l'article "mouler [1]" du dictionnaire de français Littré
L'Asiatique prétendait que les longs plis d'une tunique qui moulerait ses membres, en descendant mollement jusqu'à ses pieds, auraient infiniment plus de grâce
(Denis DIDEROT, Salon de 1767, Oeuv. t. XIV, p. 190, dans POUGENS)
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Citation | Œuvre | Entrée |
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Celui qui connaîtra l'esprit du stoïcisme, ne sera point étonné qu'un amalgame de philosophie et de théologie ait fait des disciples de Zénon des moulins à sophismes | Claude et Nér. II, 8 | moulin |
Le bon religieux conçut que le philosophe était résolu de mourir dans la religion de son pays | Opin. des anciens philos. (hobbisme). | mourir |
Elle prit une poignée de terre qu'elle répandit en croix sur le corps de son fils qu'elle avait étendu à ses pieds ; son mari comprit le signe et se laissa mourir de faim | Lettre sur les sourds et muets | mourir |
À des parterres émaillés de fleurs succèdent de grands tapis de mousse et des gazons dont cent ruisseaux entretenaient la verdure | Mém. t. IV, p. 343, dans POUGENS | mousse [3] |
Si vous croyez que, quand l'homme peut légitimement tirer deux moutures d'un sac, il n'y manque jamais | Mém. t. III, p. 304, dans POUGENS | mouture |
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