Citation de DELILLE extraite de l'article "été [1]" du dictionnaire de français Littré
L'été même, à l'instant qu'on liait en faisceaux Les épis jaunissants qui tombent sous la faux, J'ai vu les vents grondants sur ces moissons superbes Déraciner les blés, se disputer les gerbes
(Jacques DELILLE, Géorg. I)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
L'air morne, l'oeil éteint, pourtant dans leur tristesse Se laissait entrevoir un rayon d'allégresse |
Paradis perdu, I |
éteint, einte |
Sur la face des eaux s'étend la nuit profonde |
Énéide, I |
étendre |
....En vain sous de beaux cieux S'étendaient à tes pieds des champs délicieux |
Trois règnes, III |
étendre |
Qu'une haine éternelle éternise la guerre ! |
Én. IV |
éterniser |
De vengeance affamé, constant dans son courroux, Voudrait-il, prolongeant son effroyable joie, Ainsi que sa colère éterniser sa proie ? |
Parad. perdu, X |
éterniser |
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