Citation de MALHERBE extraite de l'article "falloir" du dictionnaire de français Littré
La Valteline est toute à nous ; et, s'il s'en faut quelque chose, ce n'est qu'un fort qui n'est pas meilleur que les autres qui se sont rendus
(François de MALHERBE, Lett. à Racan, 18 janv. 1625)
| Citation | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|
| Elle a vu parmi la fange Fouler ce qu'elle adorait | II, 4 | fange |
| E, pour étendre sa couronne, Croître comme un faon de lionne | III, 3 | faon |
| Leurs paroles n'ont point de fard | VI, 10 | fard |
| La femme est une mer aux naufrages fatale | VI, 25 | fatal, ale |
| Cette parole.... continua l'opinion qu'on avait, que l'Afrique était fatale à la gloire des Scipions | les Épît. de Sénèque, XXIV | fatal, ale |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|---|
| Il nous faudrait mille personnes Pour éplucher tout ce canton | LA FONTAINE | Fabl. I, 8 | falloir |
| Il fallait un Aristote pour un Alexandre | ROLLIN | Hist. anc. Oeuv. t. VI, p. 601, dans POUGENS | falloir |
| Pour le petit nombre de ceux dont la tête est ferme, le goût délicat et le sens exquis, et qui comme vous, messieurs, comptent pour peu le ton, les gestes et le vain son des mots, il faut des choses, des pensées, des raisons | BUFFON | Disc. de récep. à l'Acad. | falloir |
| Il a fallu vingt mille ans pour la retraite des eaux, qui d'abord étaient élevées de deux mille toises au-dessus du niveau de nos mers actuelles | BUFFON | 4e époque, Oeuv. t. XII, p. 230, dans POUGENS | falloir |
| Il me faut qui m'estime, il me faut des amis à qui dans mes secrets tout accès soit permis | CHÉNIER | Élég. XI | falloir |