Citation de BONNET extraite de l'article "feuille" du dictionnaire de français Littré
Le célèbre Hales, dans sa belle statique des végétaux, avait démontré le premier que les feuilles étaient des puissances ménagées par la nature pour élever la séve, et qu'elles étaient les organes de la transpiration sensible et insensible
(Charles BONNET, Rech. feuilles, t. v, p. 9, dans POUGENS)
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Citation | Œuvre | Entrée |
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On voit par cette légère esquisse de la théorie du mouvement de la séve que les feuilles ont beaucoup de rapport dans leurs usages avec la peau du corps humain | Us. des feuilles, 1er mém. | feuille |
Dans de simples feuillets corticaux ou ligneux | Consid. corps org. Oeuvres, t. VI, p. 37, dans POUGENS | feuillet |
Chaque fibre, que dis-je ! chaque fibrille est elle-même très en petit une machine qui, en exécutant des préparations analogues, s'approprie les sucs alimentaires, et leur donne l'arrangement qui convient à sa forme et à ses fonctions | Contempl. nat. Oeuvres, t. VIII, p. 207, dans POUGENS. | fibrille |
Un fil de soie d'araignée, quoique prodigieusement fin, est formé de la réunion de plusieurs milliers de fils qui passent par différentes filières | Contempl. nat. XII, 4 | fil |
Une filière placée près de la bouche de l'insecte moule ce fil précieux | Contempl. nat. 12e part. ch. 4 | filière |
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