Citation de BONNET extraite de l'article "cousin [2]" du dictionnaire de français Littré
Le cousin qui voltige dans l'air a d'abord été habitant de l'eau ; c'est aussi sur l'eau qu'il va déposer ses oeufs
(Charles BONNET, Contempl. nat. 11e part. ch. 5)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
Le couteau aimanté nous découvre, dans les cendres de plusieurs espèces, des particules ferrugineuses |
Consid. corps org. oeuvres, t. V, p. 151, dans POUGENS. |
couteau |
Le coutelier ne rampe point ; il perce le sable perpendiculairement, il s'y creuse un trou ou une sorte de cellule qui a quelquefois deux pieds de longueur et dans laquelle il monte et descend à son gré |
Contempl. nat. 12e part. ch. 9 |
coutelier, ière |
Il faudrait s'assurer si un essaim qui a du couvain et qu'on prive de sa mère, ne continue pas à travailler, au moins jusqu'au temps où les petits se transforment en mouches |
Oeuvres, t. X, p. 98, dans POUGENS |
couvain |
Mes chenilles tapissèrent de soie toutes les parois du poudrier, ce qui leur donnait plus de facilité pour se cramponner contre le verre |
Insectes, observ. 4 |
cramponner |
Passerai-je sous silence les amours du crapaud, cet animal hideux, et qui peut néanmoins nous intéresser par sa constance, par sa patience et par sa dextérité à servir d'accoucheur à sa femelle ? |
Consid. Corps org. Oeuvres, t. VI, p. 142, dans POUGENS. |
crapaud |
Plus de citations de BONNET... |
Citations d'autres auteurs extraites de l'article "cousin [2]" du dictionnaire de français Littré