Citation de MUSSET extraite de l'article "brun, brune" du dictionnaire de français Littré
Les heures s'envolaient ; et l'aurore et la brune Te retrouvaient toujours dans ce chemin perdu
(Alfred DE MUSSET, dans le Dict. de DOCHEZ.)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Certes, ces femmes-là, pour mener cette vie, Portent un coeur châtré de toute noble envie | Don Paez. | châtré, ée |
| Mais ce n'est rien auprès des versificateurs ; Le dernier des humains est celui qui cheville | Après une lecture. | cheviller [1] |
| Regrettez la torpeur qui vous cloue à la terre | Poésies nouv. Souvenir. | clouer |
| Vois donc combien c'est peu que la gloire ici-bas | Poésies nouv. Sonnet. | combien |
| Tout mon coeur te bénit, bonté consolatrice ; Je n'aurais jamais cru que l'on pût tant souffrir D'une telle blessure, et que sa cicatrice Fût si douce à sentir | Poésies nouv. Souvenir. | consolateur, trice |
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