Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "serré, ée [1]" du dictionnaire de français Littré
Ô mes philosophes, il faudrait marcher serrés comme la phalange macédonienne ; elle ne fut vaincue que parce qu'elle combattit dispersée
(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Lett. d'Alemb. 23 juill. 1769)
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Lecteurs sages, remarquez que Pascal, ce coryphée des jansénistes, n'a dit dans tout ce livre sur la religion chrétienne que ce qu'ont dit les jésuites ; il l'a dit seulement avec une éloquence plus serrée et plus mâle | Pensées de Pascal, avertiss. | serré, ée [1] |
Il [milord Tirconel, ambassadeur] a le discours serré et caustique, je ne sais quoi de franc que les Anglais ont, et que les gens de son métier n'ont guère | Lett. Mme Denis, 12 janv. 1751 | serré, ée [1] |
Une mère et un fils dans la fortune la plus serrée | Pol. et lég. Déclaration de M. de Voltaire. | serré, ée [1] |
Adieu, le vieux malade de Ferney vous embrasse bien serré | Lett. la Harpe, 22 janv. 1773 | serré, ée [1] |
Je ne peux vous écrire de ma main ; j'ai la fièvre bien serré à Châlons | Lett. d'Argental, 12 sept. 1748 | serré, ée [1] |
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