Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "froideur" du dictionnaire de français Littré
Moi ? parbleu, je ne suis de taille ni d'humeur à pouvoir d'une belle essuyer la froideur
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, Mis. III, 2)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| J'enrage quand je vois sa piquante froideur | Éc. des f. V, 4 | froideur |
| L'r se prononce en portant le bout de la langue jusqu'au haut du palais, de sorte qu'étant frôlée par l'air qui sort avec force, elle lui cède et revient toujours au même endroit | Bourg. II, 4 | frôlé, ée |
| Bien des gens ont frondé cette comédie | Préf. de l'École des femmes | fronder |
| Il ne se soucie pas qu'on fronde ses pièces, pourvu qu'il y vienne du monde | Critique, 7 | fronder |
| L'on aime à aller le front levé dans la famille des Pourceaugnac | Pourc. II, 4 | front |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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| On croit ses vers glacés par la froideur du sang | CORNEILLE | Au roi, sur son retour de Flandre | froideur |
| Mme de la Poplinière, avec une tête assez vive, était d'une extrême froideur | MARMONTEL | Mém. IV | froideur |
| Laissons le flegme et la froideur aux pères conscrits | GUEZ DE BALZAC | liv. VI, lett. 3 | froideur |
| La froideur que vous avez pour une cause si importante | PASCAL | Prov. 2 | froideur |
| Quelqu'un a dit sur la froideur du roi d'Angleterre, que, quand on l'écoutait, on voyait pourquoi il était ici [chassé par le prince d'Orange] | SÉVIGNÉ | 16 févr. 1689 | froideur |