Citation de GUEZ DE BALZAC extraite de l'article "effigie" du dictionnaire de français Littré
Nous avons enterré depuis quelques jours une personne qui ne vivait plus il y a longtemps ; mais, quoique ce ne fût que son effigie qui nous restât, je n'ai pas laissé d'être touché de sa perte
(Jean-Louis GUEZ de BALZAC, Lett. à Conrart, 28 avril 1653)
| Citation | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|
| En attendant le coucher du soleil.... afin de considérer à mon aise cette riche effusion de couleurs | le Prince, avant-prop. | effusion |
| Ayons quelque égard à la délicatesse de leur humeur | Disc. à la régente. | égard [1] |
| Ce serait donner à son génie, pour s'égayer, toute l'étendue des choses humaines | liv. VI, lett. 4 | égayer [1] |
| Afin que nous n'ayons point peur que votre vertu nous égratigne | liv. VI, lett. 2 | égratigner |
| Le désir que nous avons que le monde croie que toutes nos élections sont bonnes, apporte de la nécessité à une action qui était volontaire auparavant | 7e disc. sur la cour. | élection |
| Plus de citations de GUEZ DE BALZAC... | ||