Citation de BARBIER extraite de l'article "gonflé, ée" du dictionnaire de français Littré
Nous avons tout perdu, tout, jusqu'à ce gros rire, Gonflé de gaîté franche et de bonne satire, Ce rire d'autrefois, ce rire des aïeux, Qui jaillissait du coeur comme un flot de vin vieux
(Auguste BARBIER, Iambes, le Rire.)
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Citation | Œuvre | Entrée |
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À ce métier [d'imitateur des anciens] d'ailleurs, si j'ai bonne mémoire, On peut encor parfois grappiller quelque gloire | Rev. des Deux-Mondes, mai 1865, p. 498 | grappiller |
Sans craindre le scandale et les cris indiscrets Des gratteurs de papier, des faiseurs de caquets | Rev. des Deux-Mondes, mai 1865, p. 499 | gratteur |
[Paris est, après les combats de juillet 1830] Un taudis regorgeant de faquins sans courage, D'effrontés coureurs de salons, Qui vont de porte en porte et d'étage en étage Gueusant quelques bouts de galons | Iambes, Curée. | gueuser |
Cet homme était retiré à Auteuil ; le malade a emprunté une maison guinguette que Samuel Bernard a dans ce village | Journ. hist. du règne de Louis XV, p. 350 | guinguette [1] |
Or donc je puis braver le regard pudibond ; Mon vers rude et grossier est honnête homme au fond | ïambes, prol. | honnête |
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