Citation de BARBIER extraite de l'article "guinguette [1]" du dictionnaire de français Littré

Cet homme était retiré à Auteuil ; le malade a emprunté une maison guinguette que Samuel Bernard a dans ce village

(Auguste BARBIER, Journ. hist. du règne de Louis XV, p. 350)
Citation Œuvre Entrée
Or donc je puis braver le regard pudibond ; Mon vers rude et grossier est honnête homme au fond ïambes, prol. honnête
Voilà, voilà pourtant l'air fétide, empesté [l'immoralité de certaines pièces de théâtre], L'air malsain que Paris, comme une odeur divine, Vient humer chaque soir de toute sa poitrine ! Iambes, Melpomène, 2 humer
Le cynisme des moeurs doit salir la parole, Et la haine du mal enfante l'hyperbole Iambes, prologue. hyperbole
L'auteur a compris sous la dénomination générale d'ïambes toute satire d'un sentiment amer et d'un mouvement lyrique ; cependant ce titre n'appartient réellement qu'aux vers satiriques composés à l'instar de ceux d'André Chénier ; le mètre employé par ce grand poëte n'est pas précisément l'ïambe des anciens, mais quelque chose qui en rappelle l'allure franche et rapide : c'est le vers de douze syllabes, suivi d'un vers de huit, avec croisement de rimes ; cette combinaison n'était pas inconnue à la poésie française, l'élégie s'en était souvent servie, mais en forme de stances ; c'est ainsi que Gilbert a exhalé ses dernières plaintes ïambes. ïambe
[Un auteur tenté] De découper un peu de sa pourpre divine [d'Horace], Pour faire que la sienne un peu plus s'illumine [imitation du vers d'Horace, Art p. 15 : Purpureus, late qui splendeat, unus et alter Assuitur pannus] Rev. des Deux-Mondes, mai 1865, p. 498 illuminer
Plus de citations de BARBIER...