Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "iris [2]" du dictionnaire de français Littré

On savait qu'il faut qu'une nuée épaisse, se résolvant en pluie, soit exposée aux rayons du soleil et que nos yeux se trouvent entre l'astre et la nuée, pour voir ce qu'on appelait l'iris

(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Phil. Newt. II, 9)