Citation de CONDILLAC extraite de l'article "taxe" du dictionnaire de français Littré

Pauvres, ils [les paysans] affectaient de le paraître encore plus, parce que les taxes, qui étaient personnelles et arbitraires, croissaient aussitôt qu'un laboureur laissait apercevoir de l'aisance

(Etienne Bonnot de CONDILLAC, Comm. gouv. II, 17)