Citation de ROLLIN extraite de l'article "tendre [2]" du dictionnaire de français Littré
À peu de distance suivaient ses enfants [de Persée mené en triomphe à Rome] avec leurs gouverneurs, leurs précepteurs et tous les officiers de leur maison, qui, fondant tous en larmes, tendaient leurs mains au peuple
(Charles ROLLIN, Hist. anc Oeuv. t. IX, p. 163, dans POUGENS)
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Citation | Œuvre | Entrée |
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Voilà, lui dit-il, la Sicile qui nous tend les bras, et vous savez de quelle importance est cette île | Hist. anc. Oeuv. t. VII, p. 365, dans POUGENS | tendre [2] |
Le métier et l'exercice des Lacédémoniens était la guerre ; tout tendait là chez eux | Hist. anc. Oeuv. t. II, p. 529, dans POUGENS | tendre [2] |
Peu occupé des grâces légères du discours, et quelquefois même négligeant les règles gênantes de la pureté du langage, il [Bossuet] tend au grand, au sublime, au pathétique | Traité des Ét. III, 2 | tendre [2] |
D'épaisses ténèbres lui couvrent les yeux ; les mains lâchent les rênes ; il tombe de son cheval | Hist. anc. Oeuv. t. VII, p. 424, dans POUGENS | ténèbres |
Ce fait nous montre de quelles ténèbres la prétendue sagesse des païens était accompagnée | Hist. anc. Oeuv. t. III, p. 311, dans POUGENS | ténèbres |
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