Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "moquer (se)" du dictionnaire de français Littré
Pie II envoya, au roi une épée bénite, mais il se moqua de lui, et ne donna point à son cousin le royaume de Naples
(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Hist. parlem. ch. X)
Citations d'autres auteurs extraites de l'article "moquer (se)" du dictionnaire de français Littré
Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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Des mystères sacrés hautement se moquait | CORNEILLE | Poly. III, 2 | moquer (se) |
Pour se moquer de leur religion [des Égyptiens], il [Cambyse] avait fait tuer le dieu Apis, c'est-à-dire le taureau sacré qu'ils adoraient sous ce nom | ROLLIN | Hist. anc. Oeuvr. t. V, p. 525, dans POUGENS | moquer (se) |
La malignité saisit un ridicule et s'en moque ; la sottise se moque sans aucune raison | GENLIS | Ad. et Théod. t. III, p. 237, dans POUGENS | moquer (se) |
Faisons nos sûretés et moquons-nous du reste | CORNEILLE | Othon, II, 4 | moquer (se) |
Ce héros voit la fourbe et s'en moque dans l'âme | CORNEILLE | Pomp. II, 2 | moquer (se) |