Citation de BUFFON extraite de l'article "terme" du dictionnaire de français Littré
Quand il faut représenter des idées qui n'ont pas encore été exprimées, on est obligé de se servir de termes qui paraissent contradictoires : et c'est par cette raison que les philosophes ont souvent employé, dans ces cas, des termes étrangers, afin d'éloigner de l'esprit l'idée de contradiction qui peut se présenter en se servant de termes usités, et qui ont une signification reçue
(Georges Louis Leclerc, comte de BUFFON, Hist. anim. ch. II)
| Citation | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|
| Les pennes de la queue noirâtres, terminées de jaune | Ois. t. VI, p. 109 | terminé, ée |
| Des images faibles et mal terminées | Hist. nat. hom. Oeuv. t. IV, p. 518 | terminé, ée |
| Une de ces peaux [des léopards] coûte huit ou dix louis, lorsque le fauve en est vif et brillant, et que les taches en sont bien noires et bien terminées | Quadrup. t. III, p. 288 | terminé, ée |
| Le poli terne, gras et savonneux de tous les jades | Min. t. VII, p. 52 | terne [1] |
| On approche un miroir ou une lumière de la bouche du malade : si le miroir se ternit, ou si la lumière vacille, on conclut qu'il respire encore | Hist. nat. hom. Oeuv. t. IV, p. 378 | ternir |
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