Citation de MARIVAUX extraite de l'article "martinet [3]" du dictionnaire de français Littré
Quand je vous aurais vue, le martinet à la main, descendre à la cave, vous auriez toujours été ma princesse
(Pierre de MARIVAUX, Jeux de l'amour et du hasard, II, 5)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Une femme grande, âgée, maigre, pâle, vêtue en femme du commun, mais proprement pourtant, qui avait un air posé et matois | Pays. parv. part. 5 | matois, oise |
Il faudrait être un bien mauvais esprit pour abuser de cela contre vous | Marianne, 5e part. | mauvais, aise |
Le plus grand ennemi du méchant, c'est celui qui lui ressemble | Pays. parv. 1re part. | méchant, ante |
Le chevalier : Vous connaissez sa soeur, elle est riche, très aimable, et de vos amies, même. - La marquise : Assez médiocrement | Sec. supr. de l'am. III, 8 | médiocrement |
C'était d'ailleurs une situation bien neuve pour moi que la mêlée où je me trouvais | Marianne, 1re part. | mêlée |
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