Citation de GENLIS extraite de l'article "rose [1]" du dictionnaire de français Littré
Si l'on veut rendre d'un beau vert, sans la flétrir, une rose qu'on vient de cueillir, on la couvrira entièrement de tabac bien naturel, qui ne soit pas trop sec
(Stéphanie Félicité Ducrest de St-Albin, comtesse de GENLIS, Maison rust. t. II, p. 398, dans POUGENS)
Citation | Œuvre | Entrée |
---|---|---|
La couverture de roseau dure quarante à cinquante ans | Maison rust. t. I, p. 39, dans POUGENS | roseau |
Denise vous salue, elle n'attend que le moment d'accoucher, et souffre beaucoup ; comme elle n'a pas d'intérêt à dissimuler sa rotondité, elle est monstrueuse | Mères riv. t. I, p. 320, dans POUGENS | rotondité |
Les chevaux sujets à perdre la vue plutôt que les autres sont les gris sales, les gris étourneaux, ceux de fleur de pêcher et les rouans | Maison rust. t. I, p. 188, dans POUGENS | rouan, anne |
La belle avait sur le front un bandeau enduit de cire et d'huile, préservatif de rides ; deux petites rouelles de veau cru couvraient ses joues | Mères riv. t. II, p. 8, dans POUGENS | rouelle |
Aussitôt qu'on a été vue de toute la salle, que le rouge se raye, que la coiffure se dérange, on bâille, on se plaint du chaud, et l'on va se coucher | Ad. et Th. t. III, p. 417, dans POUGENS | rouge [1] |
Plus de citations de GENLIS... |