Citation de AMYOT extraite de l'article "diffluer" du dictionnaire de français Littré
Si on les sent [des odeurs] d'un peu de loin, ce qu'il y a d'evaporation se perd et difflue à l'environ
(Jacques AMYOT, Plut. Propos de table, I, 8)
Autres citations de Jacques AMYOT
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Jugeant que c'estoit le soleil qui imprimoit ceste temperature et ceste disposition en la terre, de laquelle sourdoit ceste exhalation divinatrice | Plut. Oeuvr. mor. t. V, p. 411 | divinateur, trice |
| Telz exercites [armées] sont desormais dons reciproques que s'entredonnent et s'entreprestent noz particuliers citoyens à nos despens | Caton d'Utique, 61 | entre-prêter (s') |
| Quelques-uns interpretants un peu plus gracieusement la fabulosité de ce conte... | Plut. Oeuvres mor. t. XVI, p. 151 | fabulosité |
| Le demy ton es meses est incomposé | Plut. De la musique, 18 | incomposé, ée |
| Ce qui est plongé et enfoncé dedans le corps s'appelle ame ; mais ce qui est entier et incorrompu, le vulgaire l'appelle l'entendement | Plut. Oeuv. mor. t. XX, p. 229 | incorrompu, ue |
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